Industrie acoustique

Exposition au bruit et aux vibrations – Se protéger du bruit, une priorité

La réglementation du bruit relative à sa prévention au travail repose sur la directive européenne 2003/10/CE du 6 février 2003, qui fixe les prescriptions minimales en matière de protection des travailleurs contre les risques liés aux expositions au bruit. Cette directive a ensuite, été transposée en droit français par le décret 2006-892 du 19 juillet 2006, modifiant les articles relatifs à la “prévention du risque d’exposition au bruit” dans le code du travail. Enfin, ce décret apporte des modifications concernant les valeurs limites d’exposition ; l’abaissement des seuils d’exposition déclenchant des actions de prévention, les mesures de protection collective obligatoires et l’évaluation des risques liés au bruit.

 

Les études acoustiques sont déterminantes dans l’industrie acoustique pour gérer les risques liés à l’exposition au bruit et aux vibrations. Elles permettent de se conformer à la réglementation décret 2006-892, en évaluant le bruit des installations industrielles. En mesurant l’exposition moyenne quotidienne au bruit et notamment la dose de bruit avec un exposimètre, on peut réduire les risques de surdité professionnelle et assurer la sécurité des travailleurs.

Il est notamment constitué de trois points centraux à savoir :

  • Adapter l’environnement de travail: Réduire le bruit à la source , insonoriser et réduire le bruit des locaux.
  • Évaluer les risques liés aux bruits: Mesurer les valeurs d’exposition, consulter les travailleurs, etc.
  • Protéger les travailleurs concernés par le bruit (action de prévention, prise en compte de la réglementation en vigueur, mise à disposition de protections, etc.).

Compétences

Exposition au bruit et aux vibrations – Se protéger du bruit, une priorité

La réglementation du bruit relative à sa prévention au travail repose sur la directive européenne 2003/10/CE du 6 février 2003, qui fixe les prescriptions minimales en matière de protection des travailleurs contre les risques liés aux expositions au bruit. Cette directive a ensuite, été transposée en droit français par le décret 2006-892 du 19 juillet 2006, modifiant les articles relatifs à la “prévention du risque d’exposition au bruit” dans le code du travail. Enfin, ce décret apporte des modifications concernant les valeurs limites d’exposition ; l’abaissement des seuils d’exposition déclenchant des actions de prévention, les mesures de protection collective obligatoires et l’évaluation des risques liés au bruit.

Il est notamment constitué de trois points centraux à savoir :

  • Adapter l’environnement de travail: Réduire le bruit à la source, insonoriser et réduire le bruit des locaux.
  • Évaluer les risques liés aux bruits: Mesurer les valeurs d’exposition, consulter les travailleurs, etc.
  • Protéger les travailleurs concernés par le bruit (action de prévention, prise en compte de la réglementation en vigueur, mise à disposition de protections, etc.).

Sécurité, Prévention, Conseil…

Les niveaux sonores au sein des ateliers d’une usine ne dépendent pas uniquement du bruit émis par les machines et des procédés de fabrication mais aussi des propriétés acoustiques des halls d’exploitation.
Le paramètre essentiel est le temps de réverbération (Tr) qui indique comment les niveaux sonores se propagent dans le volume. Il est généralement défini comme la durée nécessaire pour que l’intensité sonore atteigne un millionième de sa valeur initiale (soit une décroissance de 60 dB).

Le constat est, que pour la plupart des ateliers, ces durées de réverbération (Tr) sont élevées. Les sols en béton et les parois souvent réfléchissantes (murs et plafonds), avec une faible absorption, favorisent la propagation des bruits.

Avec un traitement acoustique adapté, la diffusion sonore des machines sera mieux maîtrisée et l’ambiance sonore plus équilibrée.

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